| | Source historique | |
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+8lilan Eliane mad Gigi Jean-Bart Lucie.51 mina 2 Isa 12 participants | |
Auteur | Message |
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mina 2 Jeune papoteur
Nombre de messages : 182 Age : 65 Localisation : provence Date d'inscription : 29/02/2008
| Sujet: Re: Source historique Lun 24 Mar - 12:42 | |
| Merci et Jean-Pierre et Zazou | |
| | | Lucie.51 Jeune papoteur
Nombre de messages : 157 Age : 56 Localisation : Marne Date d'inscription : 01/03/2008
| Sujet: Re: Source historique Mar 25 Mar - 1:29 | |
| Zazou et Jean-Pierreet | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Source historique Lun 31 Mar - 12:47 | |
| 31 mars... Anniversaire de la comédienne Sandrine Bonnaire !!!
J'ai pas mis l'année, car je suis un homme galant! |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Source historique Mar 1 Avr - 9:48 | |
| Au jourd'hui, c'est la Saint Poisson... donc bonne fête à toutes les : Sirène... patronne des pompiers et des ambulanciers Sardine.... patronne du port de Marseille Maquereau ... patron des commencant de Pigale Requin... patron des gouvernements Merou... patron des petomanes (oui, les merous pètent) Seiche.... patronne des fumeurs Anchois... patron des pizzas et des olives Morue... patronne des plaisirs
toutes mes excuses à ceux et celles que j'ai pas cité ! |
| | | Eliane Papoteur assidu
Nombre de messages : 637 Age : 39 Localisation : centre du soleil Humeur : gaie du matin au soir Date d'inscription : 01/03/2008
| Sujet: Re: Source historique Mar 1 Avr - 17:34 | |
| . monoclodon!! ou as tu tiré cette prose, tu peux me donner ta bibliographie!! ahahah!!j'aimerais dire bonjour aux autres ah le mérou!! il doit faire des bulles!!ça anime les mers chaudes! Sources historiques, y a pas à dire les historiens sont des gens très sérieux! si si y en a . | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Source historique Mar 1 Avr - 18:05 | |
| C'etait un poisson d'avril !! lol |
| | | Ma chouette Jeune papoteur
Nombre de messages : 303 Age : 68 Localisation : Pertuis Emploi/loisirs : Plein Humeur : Selon la votre hihihihihi. Date d'inscription : 25/03/2008
| Sujet: Re: Source historique Mar 1 Avr - 18:55 | |
| à tous et bravo,
La tradition du 1er avril remonte à 1564, et c’est Charles IX qui en est le responsable. Voici comment tout cela a commencé.
Charles IX avait fait paraître une ordonnance fixant le premier jour de l’année au début de janvier en lieu et place du 1er avril, date qui marquait le début de l’année depuis longtemps. Bien sûr, cela a suscité des réactions : certains étaient d’accord pour le changement, des jeunes pour la plupart qui n’avaient pas connu mieux… [rires], mais il y avait des contestataires, en général des personnes plus âgées... Pris en grippe par les tenants du changement, ces " conservateurs " ont alors commencé à recevoir des poissons derrière la tête – un peu avancés les poissons... Un mauvais tour à leur jouer, en quelque sorte. Et c’est ce qui a donné naissance à la tradition du poisson d’avril, qui n’est plus aujourd’hui qu’une plaisante excuse pour jouer un tour à quelqu’un.
Beaucoup ont pensé que l’année devrait commencer le 1er avril, parce que l’année débute véritablement avec le printemps, symbole de retour, de renaissance. Pour la faire commencer avec la mort apparente de la nature, Charles IX devait avoir des raisons qui, encore, me dépassent.
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| | | Christine Jeune papoteur
Nombre de messages : 155 Age : 67 Localisation : Pertuis Emploi/loisirs : aime jouer au scrabble Humeur : riante Date d'inscription : 26/03/2008
| Sujet: Re: Source historique Mar 1 Avr - 19:43 | |
| 3 mai 1968 La police évacue la Sorbonne
Le 3 mai 1968, à Paris, la police évacue par la force 500 étudiants qui occupent la vénérable faculté de la Sorbonne. Aussitôt, des barricades font leur apparition sur le boul'Mich voisin (le boulevard Saint-Michel) et dans tout le Quartier Latin.
C'est le début des «Événements de Mai-68». Ils figurent aujourd'hui parmi les grands mythes révolutionnaires français aux côtés de la Commune de Paris (1871) et du Front populaire (1936). L'étincelle L'agitation a débuté en mars 1967 dans la toute nouvelle faculté de Nanterre, une ville de la banlieue ouest de Paris, quand un groupe d'étudiants de la cité universitaire a réclamé le droit d'accès aux dortoirs des filles en invoquant les mânes de Wilhelm Reich (1897-1957), un psychanalyste autrichien promoteur de la libération sexuelle !
L'affaire génère un climat de méfiance entre les étudiants et l'administration universitaire.
Une première grève classique de l'UNEF (Union nationale des étudiants de France) en novembre 1967 étant restée sans effet, différents groupuscules d'extrême-gauche au sein desquels apparaît un certain Daniel Cohn-Bendit entreprennent de harceler les professeurs et le doyen de la faculté de Nanterre.
Le 22 mars 1968, suite à l'arrestation à Paris de six étudiants qui militaient contre la guerre du Viêt-nam, 142 étudiants constituent un mouvement de soutien connu sous le nom de Mouvement du 22 mars. Les militants du mouvement occupent en soirée la salle du Conseil au sommet de la tour qui domine le campus. Ils commencent à parler politique et appellent à une journée de débats le 29 mars.
En guise de riposte, le doyen ferme la faculté une première fois du 29 mars au 2 avril, mais sans réussir à empêcher l'organisation de plusieurs journées de débats politiques parmi les étudiants.
Plusieurs étudiants, parmi lesquels Daniel Cohn-Bendit, sont traduits pour agitation devant le Conseil de l'Université de Paris, dont la commission d'instruction doit siéger le 6 mai.
Une manifestation de soutien est programmée le 3 mai dans la cour de la Sorbonne, au coeur de Paris. Le recteur de l'Université, dès le 2 mai, demande à la police d'évacuer la faculté où déjà ont commencé à se rassembler les manifestants. «Malgré les promesses faites aux étudiants de les laisser sortir librement, beaucoup sont brutalement arrêtés et emmenés. La riposte est spontanée, immédiate et acharnée...» raconte l'historien Nicolas Daum (*).
C'est ainsi que le conflit entre les étudiants et les autorités se déplace de la lointaine banlieue au coeur de la capitale. La conflagration Une semaine plus tard, le 10 mai, les étudiants manifestent en masse pour exiger la «libération» de la Sorbonne, toujours encerclée par la police en armes. C'est la première intervention massive des CRS - Compagnies Républicaines de Sécurité - créées quelques années plus tôt.
En soirée ont lieu les premiers heurts entre la police et les manifestants. Dans tout le Quartier Latin, les étudiants élèvent spontanément des barricades en dépavant les rues, renversant les voitures ou même abattant des arbres. Au milieu de la nuit, la police donne l'assaut à coup de gaz lacrymogènes, de grenades incendiaires et de matraques. Les assaillants sont parfois accueillis aux cris de «CRS, SS !» (d'un goût douteux). On compte de nombreux blessés dans les deux camps mais fort heureusement aucun décès.
Le pays tout entier est bouleversé par les images qui apparaissent sur les écrans de télévision. Mais l'opposition parlementaire ne sait sur quel pied danser et se montre hésitante, voire maladroite, face à ces événements qui consacrent la rupture entre la classe dirigeante et... ses enfants. Les syndicats, quant à eux, appellent dès le lendemain, un samedi, à une journée de grève générale pour le lundi suivant, un 13 mai.
«La police est retirée du Quartier Latin. Le 13 voit la manifestation pacifique la plus massive qu'on ait jamais connue, la grève générale étant largement suivie. Le défilé traverse Paris au milieu de la sympathie générale depuis la place de la République jusqu'à Denfert-Rochereau, puis au Champ de Mars. Chez les étudiants, l'ordre du jour est à la solidarité entre les étudiants et les travailleurs», écrit Nicolas Daum (*).
Commence alors la plus grande grève jamais vue en France (8 millions de grévistes). La Ve République, née dix ans plus tôt à la faveur du vrai-faux coup d'État d'Alger, vacille sur ses bases et l'on entend les cris de «Dix ans, ça suffit !». Mais au grand dam des étudiants, les syndicats vont négocier pour leur compte la sortie de crise sans se soucier de rejoindre dans son combat une jeunesse pour l'essentiel issue des classes privilégiées. L'apaisement Le Premier ministre Georges Pompidou rentre d'urgence d'un voyage officiel en Roumanie et, pour endiguer le mouvement, ouvre avec les syndicats de salariés les négociations de Grenelle. Il entérine une augmentation générale de 10% des salaires. Le SMIG (salaire minimum interprofessionnel garanti, remplacé plus tard par le SMIC, salaire minimum interprofessionnel de croissance) est, lui, augmenté de 35%, ce qui le porte à... 500 francs par mois (environ 75 euros).
Tandis que le Premier ministre manifeste un remarquable sang-froid face à la crise, le président de la République Charles de Gaulle se montre indécis et chancelant. Il disparaît même pendant plusieurs heures. On apprendra plus tard qu'il a eu une entrevue mystérieuse avec le général Massu à son quartier général de Baden-Baden et s'est interrogé sur son éventuel retrait de la vie politique.
À son retour, le 30 mai, le président, s'étant ressaisi, annonce à la radio la dissolution de l'Assemblée nationale. Le jour même, un demi-million de personnes remontent les Champs-Élysées en signe de soutien enthousiaste au régime gaulliste.
Le frisson rétrospectif amène à l'Assemblée nationale une écrasante majorité de droite. Les événements de Mai 68 sont terminés. Un an plus tard, le Général tire sa révérence. Il démissionne à la suite du rejet par les Français d'un référendum sur la régionalisation et s'éteindra un an plus tard, le 9 novembre 1970, dans sa demeure de Colombey-les-deux-Églises. Révolution pacifique et sans résultat tangible immédiat, Mai 68 marquera pourtant profondément les années 70 avec son idéologie contestataire, tiers-mondiste, anti-capitaliste, anti-américaine et anti-productiviste.
et voilà ma petite contribution | |
| | | Jean-Bart Papoteur assidu
Nombre de messages : 855 Age : 79 Localisation : Grosley-sur-Risle Date d'inscription : 03/03/2008
| Sujet: Re: Source historique Mer 2 Avr - 10:16 | |
| * * Bonjour .... Christine2 avril 1810 :
Marie-Louise et Napoléon unis devant DieuLe 2 avril 1810, l'empereur Napoléon 1er (40 ans) épouse l'archiduchesse d'Autriche Marie-Louise (18 ans). Marie-Louise descend de l'impératrice Marie-Thérèse. Elle est la nièce de la reine Marie-Antoinette... | |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Source historique Mer 2 Avr - 12:16 | |
| En ce 2 Avril 2008, Notre Serge Gainsbourg aurait 80 ans !!! Un grand poète provocateur ! Bref un génie ! |
| | | Ma chouette Jeune papoteur
Nombre de messages : 303 Age : 68 Localisation : Pertuis Emploi/loisirs : Plein Humeur : Selon la votre hihihihihi. Date d'inscription : 25/03/2008
| Sujet: Re: Source historique Mer 2 Avr - 16:42 | |
| et bravo à tous,
16 mai 1976 .
L’origine du Loto de la Française des Jeux.
Le jeu national du Loto est né en 1975 d'un décret signé par Jacques Chirac. Le premier tirage s’est tenu en public à l'Empire, à Paris, le mercredi 19 mai 1976. A cette occasion, 73680 bulletins seulement avaient été enregistrés pour un total de 50.600 francs. A l’origine, seule la région parisienne comportait des points de vente (1 000 en 1976), puis l'ensemble du territoire français fut progressivement couvert durant l'été 1977. Il devint possible d'acheter des bulletins dans les départements d'outre-mer au début de l'année 1978.
Les ancêtres du Loto.
L’origine de la loterie, ce jeu d'argent où des lots sont distribués à des gagnants sélectionnés au hasard parmi les joueurs ayant payé une mise de départ, remonte à l’Antiquité. A Rome, Néron avait créé des loteries de mille billets par jour. La première loterie connue en France date de 1539 : elle fut organisée avec l'autorisation de François Ier, sous l'impulsion d'un immigré italien du nom de Tonti. Par la suite, les loteries furent interdites en France, ou simplement tolérées, pendant deux siècles, avant de faire un grand retour à la fin du XVIIème siècle, avec la Loterie de l'Hôtel de Ville et les loteries religieuses. La Loterie de l'École militaire, créée en 1774 à l'initiative de Madame de Pompadour, marque la première vraie tentative de loterie nationale et peut être considérée comme l’ancêtre du Loto. Elle fut transformée en Loterie Royale de France quelques années après sa création et devint la seule loterie autorisée en France.
EH NON !!! MALHEUREUSEMENT JE NE FAIS PAS PARTIE DES GAGNANTS !!!
Bon aprem à tous. | |
| | | Eliane Papoteur assidu
Nombre de messages : 637 Age : 39 Localisation : centre du soleil Humeur : gaie du matin au soir Date d'inscription : 01/03/2008
| Sujet: Re: Source historique Mer 2 Avr - 16:49 | |
| . pauvre ma chouette tu sais pas t'y prendre moi je viens de gagner 110 euros!!et oui!!! un bon début voilà plus de ..... ans que je joue! chouet!! on va se payer un bon petit... ...hotel qq part ce week end!Dans la loire! . | |
| | | Christine Jeune papoteur
Nombre de messages : 155 Age : 67 Localisation : Pertuis Emploi/loisirs : aime jouer au scrabble Humeur : riante Date d'inscription : 26/03/2008
| Sujet: Re: Source historique Mer 2 Avr - 19:49 | |
| L'oeil du parfumeur : lavoir au moulin de la Foux Vous vous retrouvez dans cette photo en 1876 à Grasse, au Moulin de la Foux. Plus de trente lavandières s'affèrent autour du lavoir de la ville, protégées par leurs chapeaux ou fichus de toile. La vieille dame au centre, toute petite, courbée, concentrée sur son ouvrage est émouvante.
Quelques hommes à gauche, avec leurs bovins discutent ensemble et jettent un oeil vers l'objectif. Le chemin qui descend vers le lavoir est très encombré par les ânes ou le muret servant à étendre le linge. La route qui tourne vers le bas de la ville rassemble beaucoup de monde. On imagine volontiers les cris, injectives, rires, enthousiasmes, discussions enflammées aux accents sucrées du sud. C'est un lieu plein de vie.
Je comprends l'oeil du photographe parfumeur, intrigué et séduit par la scène. Les Roure composaient alors des essences et absolus pour les grands parfumeurs. Mais les champs de la parfumerie sont vastes. La lessive n'existe pas encore. Et le savon de Marseille est encore un must pour laver le linge, le purifier. Cet ancien parfumeur photographe se projetait-il dans l'avenir de la société Roure ? S'interrogeait-il sur quelques opportunités ? 80 ans plus tard, la société, puis Givaudan fournira en arômes les grands groupes alimentaires, et en odeurs subtiles les grands lessiviers comme Procter.
J'aime beaucoup cette composition spontanée, pleine de vie, de la haute convivialité d'autrefois, de jeux d'eau, du bruit de la foule, et de projections soulignées par l'oeil du photographe.
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| | | Eliane Papoteur assidu
Nombre de messages : 637 Age : 39 Localisation : centre du soleil Humeur : gaie du matin au soir Date d'inscription : 01/03/2008
| Sujet: Re: Source historique Jeu 3 Avr - 2:12 | |
| très jolie scène en effet! grasse une ville perchée très pittoresque, pleine d'odeur extraordinaire et de couleur , des petites rues des escaliers, j'y ai passé des vacances j'avais 16 ans et on été envahie par l'odeur de la bergamote, utilisée pour fixer les fragrances ! j'y suis revenue il y a peu, surprise, la même odeur flotte dans la ville les parfums Fragonnard à base de pétale de rose et lavande sont fabriqués dans cette ville , et on peut visiter la parfumerie, très belles cuves en cuivre et alambic!! . | |
| | | Invité Invité
| | | | Ma chouette Jeune papoteur
Nombre de messages : 303 Age : 68 Localisation : Pertuis Emploi/loisirs : Plein Humeur : Selon la votre hihihihihi. Date d'inscription : 25/03/2008
| Sujet: Re: Source historique Jeu 3 Avr - 13:32 | |
| à tous et merci.
LE CONCORDE
La naissance du supersonique. Le projet de construire le premier avion civil supersonique remonte à la fin des années 1950.
Le premier vol de CONCORDE, avec André TURCAT aux commandes, secondé par Jacques GUIGNARD, Henri PERRIER et Michel RETIF, à lieu le 2 mars 1969 et durera 29 minutes. Mach 1 sera passé en octobre 1969 et Mach 2, un an plus tard.
Pendant les 5 années qui suivent CONCORDE subira toutes sortes de tests, au sol et pendant plus de 800 H de vol.
CONCORDE, recevra son certificat de navigabilité, le 10 octobre 1975.
Le premier vol commercial de CONCORDE /AIR FRANCE - PARIS RIO a lieu le 21 janvier 1976. Voler à plus de deux fois la vitesse du son pendant plus de 3 heures aucun avion, civil ou militaire, autre que CONCORDE, n'est capable de réaliser cet exploit. Pensez, au passage, à LINDBERGH qui en 1927, avec son SPIRIT OF SAINT LOUIS, a traversé l'Atlantique Nord dans le sens NEW YORK - PARIS en 33 heures et 30 minutes et à CONCORDE qui le jour de NOËL 1989 a parcouru la même distance en 2 heures 59 minutes 40 secondes.
La retraite du supersonique. Après l’accident d'un Concorde survenu le 25 juillet 2000, à Gonesse, près de l’aéroport Roissy charles de gaulle et en raison de la chute de la rentabilité du supersonique, British Airways et Air France ont simultanément annoncé le retrait de cet avion le 10 avril 2003.
Les derniers vols commerciaux ont été effectués le 31 mai 2003 pour Air France et le 24 octobre 2003 pour British Airways. Cet avion de légende a officiellement pris sa retraite le 26 novembre de la même année.
Bel oiseau !! tout de même.........
Bonne journée à tout le monde. | |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| | | | Ma chouette Jeune papoteur
Nombre de messages : 303 Age : 68 Localisation : Pertuis Emploi/loisirs : Plein Humeur : Selon la votre hihihihihi. Date d'inscription : 25/03/2008
| Sujet: Re: Source historique Ven 4 Avr - 1:26 | |
| à tous,
Merci Bourriquet et Lancelot.
LE DISQUE COMPACT ou CD ( abréviation du terme anglais Compact Disc ).
Le disque compact fut inventé conjointement par les firmes Philips et Sony Corporation avec, également, la participation de Hitachi pour l’audio-numérique (CD audio) en 1979. Quand les deux entreprises ont décidé de travailler ensemble en 1979, le projet prévoyait que les platines laser seraient équipées des puces électroniques les plus puissantes jamais commercialisées pour un produit grand public. En 1980, un "livre orange" a précisé les caractéristiques techniques du nouveau disque et le partage des brevets entre les deux concurrents : à Philips la conception du CD (sur la base de leur expérience de la technologie du Laserdisc) et des lentilles qui permettent la lecture ; à Sony la définition du format utilisé pour numériser la musique et la méthode de correction d’erreurs. Parmi les principaux membres de l’équipe, les plus connus sont Pieter Kramer (directeur du laboratoire de recherche optique de Philips dans les années 1970) et Kees A. Schouhamer Immink pour Philips et Toshitada Doi pour Sony.
Les premiers prototypes produits par Philips mesuraient 115 mm de diamètre, avec un codage sur 14 bits et une capacité de 60 minutes. Sony insista pour qu’on adopte un codage sur 16 bits et une durée de 74 minutes, ce qui a augmenté la taille du disque à 120 mm. Selon les rumeurs, la capacité du CD 12 centimètres a été augmentée à 74 minutes, à la demande de Herbert von Karajan, pour que la version la plus lente de la 9e symphonie de Beethoven tienne sur un seul CD. Sony indique que c’est à la demande de l’épouse de son président, pour ces mêmes motifs.
Philips et Sony ont annoncé fin août 1982 qu’ils étaient prêts à sortir leur nouveau produit et ont commencé les ventes à l’automne. La production industrielle commença le 17 août 1982 à Langenhagen, près de Hanovre (R.F.A.). La première platine fut vendue au Japon le 1er octobre 1982 accompagnée de l’album "52nd Street" de Billy Joel.
Le succès du CD est progressif, limité dans un premier temps à l’album The Visitors d’ABBA (Polygram, label de Philips), et à un enregistrement de la Symphonie alpestre de Richard Strauss dirigée par Karajan. En effet, le CD passe surtout dans les premiers temps pour un support réservé aux mélomanes classiques, grâce à la qualité sonore qu’il offre. Quelque 200 titres, classiques essentiellement, sont ainsi produits par Philips. C’est la mise sur le marché de l’album Brothers in Arms, du groupe Dire Straits (premier album entièrement numérique), qui démocratise le CD : l’album se vend à plus d’un million d’exemplaires. Il ne fait plus de doute que le CD est le support sonore de l’avenir.
Dès 1986, les platines laser se vendaient mieux que les autres et en 1988 les ventes CD dépassaient celles des vinyles. Le CD a connu un large succès et s’est rapidement substitué aux disques vinyles comme support musical.
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| | | Christine Jeune papoteur
Nombre de messages : 155 Age : 67 Localisation : Pertuis Emploi/loisirs : aime jouer au scrabble Humeur : riante Date d'inscription : 26/03/2008
| Sujet: Re: Source historique Ven 4 Avr - 9:39 | |
| Les blanchisseuses ou lavandières Les blanchisseuses lavaient, amidonnaient et repassaient le linge des familles aisées. C'étaient elles qui allaient récupérer puis rapporter le linge propre dans des paniers ou des grands plateaux (tray) chez les particuliers.
C'est à la rivière qu'elles allaient pour la plupart laver le linge.
Coiffées de grands chapeaux de paille pour se protéger des ardents rayons du soleil, les blanchisseuses relevaient très haut leur jupe et, afin d'avoir les bras libres, n'enfilaient pas les manches de la robe qu'elles attachaient sur le devant au niveau de la poitrine. Ainsi parées, le travail pouvait commencé.
D'abord, elles mouillaient le linge qu'elles déposaient par petits tas sur les pierres, puis elles savonnaient les différentes pièces avec du savon de Marseille puis elles frottaient. Pour bien faire sortir toute la crasse des vêtements, elles les battaient sur les pierres, elles les tordaient "tchisss", elles les tchokaient.
Pour blanchir le linge, elles l'étalaient, tout savonné au soleil, sur les roches, et elles l'arrosaient de temps en temps avec une eau cendrée.
Tout cela se faisait dans la bonne humeur, les bavardages (car elles étaient plusieurs à se retrouver au bord de la rivière) et les chants pour se donner de l'ardeur au travail.
Elles amidonnaient tout le linge sauf les tricots de corps et les serviettes de toilette. C'est le manioc qui donnait l'amidon : la moussache qu'il fallait délayer dans l'eau très chaude pour l'utiliser.
Le repassage s'effectuait à l'aide de fers (qu'on appelait aussi "karo") qu'elles faisaient chauffer directement sur un feu de charbon de bois. Elles possédaient au moins un jeu de deux fers : un qui chauffait pendant que l'autre était utilisé. Elles jugeaient de la chaleur du fer en l'approchant de leur joue (voir photo). A l'aide d'un chiffon, elles nettoyaient la semelle avant de l'appliquer sur le linge propre et afin qu'elle glisse sur le tissu, elle le frottait d'un chiffon imprégné de cire de bougie.
Comme pour la lessive, un jour de la semaine était réservé au repassage. Après cette longue journée à manier les fers, journée de chaleur et de transpiration intense, elles prenaient mille précautions pour ne pas attraper un chaud-froid (une congestion) : elles gardaient le même vêtement, ne touchaient pas l'eau, ne sortaient dans la fraîcheur, évitaient les courants d'air et la pluie, et ne mangeaient pas certains fruits comme la banane ou la mangue réputées pour refroidir l'intérieur du corps.
Elles étaient très méticuleuses et prenaient bien garde de ne perdre aucune pièce du linge dont elles avaient la responsabilité.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Source historique Ven 4 Avr - 11:13 | |
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| | | Jean-Bart Papoteur assidu
Nombre de messages : 855 Age : 79 Localisation : Grosley-sur-Risle Date d'inscription : 03/03/2008
| Sujet: Re: Source historique Ven 4 Avr - 12:15 | |
| * * Bonjour à toutes et tous 4 avril 1975 Fondation de MicrosoftWilliam H. Gates et Paul Allen fondent la société Microsoft Corporation à Albuquerque (Nouveau Mexique). Son activité consiste à développer des systèmes d'exploitation et des logiciels pour ordinateurs. En 1981, le constructeur américain IBM lance son Personnal Computer (PC) avec le système d'exploitation MS DOS (Microsoft Disk Operating System) de Microsoft. Aujourd'hui, les systèmes d'exploitation Microsoft sont présents sur 90% des micro-ordinateurs dans le monde. | |
| | | Ma chouette Jeune papoteur
Nombre de messages : 303 Age : 68 Localisation : Pertuis Emploi/loisirs : Plein Humeur : Selon la votre hihihihihi. Date d'inscription : 25/03/2008
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